In palmis semper parens juventus; in palmis resurgo
– Quand je serai entre des palmiers toujours jeune m’assieds ; en étant entre des palmiers je ressuscite -. Martius (1.794-1.868).
On doit à Carl Linnaeus le début de la botanique moderne systématique avec la publication, dans 1753, de son « Species plantarum ». Dans son oeuvre, Linnaeus reconnaissait que les palmiers formaient un groupe différencié de plantes mais, toutefois, décrivait très peu d’espèces et seulement incluait 9 dans leur traité, une dont était, en réalité, cícada et aucune appartenait au Nouveau Monde..
La première moitié du siècle XIX il a résulté il de être, pour les Européens, l’âge d’or de l’exploration des tropiques. Inspirés les travaux de Humbodt et d’autres naturalistes ils se sont adressés, spécialement, à l’Amérique du Sud et au bassin de l’Amazonas. Entre tous il a souligné Carl Friedrich Philipp von Martius considéré, actuellement, comme le père des palmiers. .
Martius, est né en Erlangen (Bavière, l’Allemagne). Là il a étudié de la médecine et, étant donné sa passion par la botanique, il a été contracté par le roi de Bavière pour faire partie, quand il avait seulement 23 années, d’une expédition scientifique au Brésil avec le zoologiste J B Spix. Pendant une période de quatre années ont parcouru plus de 10.000 km en récoltant une immense quantité minéraux, insectes, des oiseaux, plantes et artefacts ethnographiques.
À son retour à l’Allemagne Martius il a été contracté comme conservateur du Jardin Botanique de Munich et, peu ensuite, comme professeur de botanique de cette université. Il a publié divers essais sur l’économie, la médecine, la culture brésilienne en général et celle qui allait être la plus grande monographie de palmiers de tout les temps : son Histoire naturalis palmarum. Le premier volume a été publié dans 1823 et les troisièmes et derniers dans 1853. Ils contenaient un total de 135 lames qui reprenaient tout ce qui était su de cette famille botanique jusqu’à alors.
Dans 1840 Martius a entamé, avec Endlicher, la Flore Brasiliensis, un traité de botanique lequel sont arrivées à prendre part soixante-cinq soulignés des botanistes européens, mais qui n’a pas pu être terminé jusqu’à 1906, bien après son décès. En elle on rassemblait la description de 23.000 espèces et elle la prétendait inclure toutes les plantes du Brésil.
Le Herbarium Martii, la collection botanique privée de Martius, est arrivé à contenir 300.000 especímenes de de tout le monde. Il a été acquis après son décès par le gouvernement belge et il est conservé aujourd’hui dans le Jardin National de la Belgique.
outes les images qu’ils suivent sont courtoisie du Missouri Botanical Garden. Celles appartenant à l’oeuvre Histoire Naturalis Palmarum ont été obtenues du web http://www.botanicus.org et celles correspondant à la Flore Brasiliensis de http://florabrasiliensis.cria.org.br